D’ici 2023, le Botswana, le Nigéria et les Seychelles devraient atteindre l’objectif de la Commission des Nations Unies sur le large bande pour un coût du haut débit inférieur à 2% du revenu national brut (RNB) par habitant.
C'est ce que révèle un nouveau rapport de l'Union internationale des télécommunications (UIT), intitulé Measuring Digital Development: ICT Price Trends 2019, qui affirme que les prix du haut débit dans les trois pays représentent actuellement entre 2 et 3% du RNB par habitant.
Le rapport indique que dans de nombreux pays africains, les forfaits vocaux coûtent 4,5% du revenu moyen, soit 2,5% de plus que la moyenne mondiale, tandis que les utilisateurs d'Internet mobile paient 11,5% du RNB, soit près de trois fois plus que les utilisateurs d'autres régions du monde qui payent 4,3%.
Selon le rapport, en Afrique, les prix du haut débit les plus abordables ne sont jusqu'à présent disponibles qu'au Gabon et à Maurice, qui ont réussi à positionner les prix en dessous de l'objectif de 2% de la Commission du haut débit.
C'est ce que révèle un nouveau rapport de l'Union internationale des télécommunications (UIT), intitulé Measuring Digital Development: ICT Price Trends 2019, qui affirme que les prix du haut débit dans les trois pays représentent actuellement entre 2 et 3% du RNB par habitant.
Le rapport indique que dans de nombreux pays africains, les forfaits vocaux coûtent 4,5% du revenu moyen, soit 2,5% de plus que la moyenne mondiale, tandis que les utilisateurs d'Internet mobile paient 11,5% du RNB, soit près de trois fois plus que les utilisateurs d'autres régions du monde qui payent 4,3%.
Selon le rapport, en Afrique, les prix du haut débit les plus abordables ne sont jusqu'à présent disponibles qu'au Gabon et à Maurice, qui ont réussi à positionner les prix en dessous de l'objectif de 2% de la Commission du haut débit.