Le groupe sud-africain Vodacom va acquérir 15% de Safaricom (Kenya) auprès du gouvernement kényan et 5% supplémentaires auprès de sa maison mère, Vodafone. Cette acquisition porte sa participation totale à 55%.
À 34 shillings kényans par action (0,26 $), la transaction est évaluée à 2,1 milliards $, sous réserve de l'approbation des autorités réglementaires du Kenya, d'Éthiopie et d'Afrique du Sud. Safaricom restera cotée à la Bourse de Nairobi, tandis que le gouvernement kényan conservera une participation de 20% et un siège au conseil d'administration.
Safaricom propose des services de télécommunications, de fintech et de services technologiques, et possède la plateforme de paiement mobile M-Pesa, largement utilisée.
Forte de sa position dominante sur le marché kényan, Safaricom fonde de grands espoirs de croissance sur le marché éthiopien où elle a lancé son réseau mobile en 2022. L'entreprise exploite également M-Pesa et d'autres produits dans le pays.
Vodacom, détenue à 65,1% par le groupe britannique Vodafone, a déclaré que cette initiative constituait une « étape clé » de sa stratégie Vision2030, axée sur les marchés africains à forte croissance et sur « l'expansion de son portefeuille diversifié ».
À 34 shillings kényans par action (0,26 $), la transaction est évaluée à 2,1 milliards $, sous réserve de l'approbation des autorités réglementaires du Kenya, d'Éthiopie et d'Afrique du Sud. Safaricom restera cotée à la Bourse de Nairobi, tandis que le gouvernement kényan conservera une participation de 20% et un siège au conseil d'administration.
Safaricom propose des services de télécommunications, de fintech et de services technologiques, et possède la plateforme de paiement mobile M-Pesa, largement utilisée.
Forte de sa position dominante sur le marché kényan, Safaricom fonde de grands espoirs de croissance sur le marché éthiopien où elle a lancé son réseau mobile en 2022. L'entreprise exploite également M-Pesa et d'autres produits dans le pays.
Vodacom, détenue à 65,1% par le groupe britannique Vodafone, a déclaré que cette initiative constituait une « étape clé » de sa stratégie Vision2030, axée sur les marchés africains à forte croissance et sur « l'expansion de son portefeuille diversifié ».




