Le gouvernement zambien a introduit une taxe journalière de 30 Ngwee (0,30 USD) sur tous les appels téléphoniques sur Internet, y compris WhatsApp, Skype et Viber, pour protéger MTN, Airtel et Zamtel.
Dans un communiqué, Dora Siliya, ministre de l'Information et des Services de radiodiffusion, a déclaré que le gouvernement avait pris la décision après avoir "constaté une augmentation du nombre d'appels téléphoniques en ligne au détriment des appels téléphoniques traditionnels, impactant ainsi les opérations de télécommunications".
Cependant, une source de l'autorité zambienne des technologies de l'information et des communications (ZICTA) a déclaré que la décision du gouvernement avait été prise après la publication d'un rapport ZICTA montrant que 80% des Zambiens utilisaient désormais les plates-formes en ligne WhatsApp, Viber et Skype pour passer des appels téléphoniques.
Le tarif sera facturé par les opérateurs de réseaux de téléphonie mobile et les fournisseurs de services Internet, mais ne deviendra effectif que lorsque le gouvernement émettra un instrument réglementaire. Les autorités ne précisent pas cependant quand cet instrument sera effectif.
Dans un communiqué, Dora Siliya, ministre de l'Information et des Services de radiodiffusion, a déclaré que le gouvernement avait pris la décision après avoir "constaté une augmentation du nombre d'appels téléphoniques en ligne au détriment des appels téléphoniques traditionnels, impactant ainsi les opérations de télécommunications".
Cependant, une source de l'autorité zambienne des technologies de l'information et des communications (ZICTA) a déclaré que la décision du gouvernement avait été prise après la publication d'un rapport ZICTA montrant que 80% des Zambiens utilisaient désormais les plates-formes en ligne WhatsApp, Viber et Skype pour passer des appels téléphoniques.
Le tarif sera facturé par les opérateurs de réseaux de téléphonie mobile et les fournisseurs de services Internet, mais ne deviendra effectif que lorsque le gouvernement émettra un instrument réglementaire. Les autorités ne précisent pas cependant quand cet instrument sera effectif.
