Fidèle à son intention de libéraliser son industrie des télécommunications, l'Éthiopie autorisera sa deuxième entreprise privée de téléphonie mobile à proposer des services de portefeuille mobile après avoir annoncé lundi qu'elle rouvrirait les offres pour un autre permis.
Safaricom, dans le cadre d'un consortium qui comprenait Vodafone et Vodacom, a remporté le premier permis privé pour construire et exploiter une licence mobile dans le pays plus tôt cette année. L'Éthiopie s'est empressée de répondre aux préoccupations qui ont entaché l'offre pour la première licence.
En effet, le gouvernement du Premier ministre Abiy Ahmed a été critiqué pour avoir protégé le portefeuille mobile Telebirr d'Ethio Telecom lorsqu'il a annoncé que le consortium Safaricom ne lancerait des services d'argent mobile qu'un an après avoir remporté l'appel d'offres.
Permettre à la deuxième entreprise privée de téléphonie mobile de déployer rapidement des services d'argent mobile ouvrirait également des opportunités de développement ultérieur du marché Fintech du pays.
Safaricom, dans le cadre d'un consortium qui comprenait Vodafone et Vodacom, a remporté le premier permis privé pour construire et exploiter une licence mobile dans le pays plus tôt cette année. L'Éthiopie s'est empressée de répondre aux préoccupations qui ont entaché l'offre pour la première licence.
En effet, le gouvernement du Premier ministre Abiy Ahmed a été critiqué pour avoir protégé le portefeuille mobile Telebirr d'Ethio Telecom lorsqu'il a annoncé que le consortium Safaricom ne lancerait des services d'argent mobile qu'un an après avoir remporté l'appel d'offres.
Permettre à la deuxième entreprise privée de téléphonie mobile de déployer rapidement des services d'argent mobile ouvrirait également des opportunités de développement ultérieur du marché Fintech du pays.
